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"Olivier Savaresse fait un peu songer à Taxi Girl et beaucoup à Gainsbourg. Ce qui confère à ce disque, décidément bizarre, une agréable filiation".
Valérie Lehoux.
(fff - Télérama)

 

"Le chanteur traverse les morceaux avec l'indolence d'un félin se grignotant les ergots. Et c'est bigrement apaisant, un échange spontané sans arrière-pensée. Régénérant.".

Nathalie Bachelerie

(Froggy's delight)

"volontiers caractériel, souvent inattendu, joyeusement difficile à suivre, malicieux dans ses ruptures, libertaire au possible. n’hésitant pas à emprunter les traits d’un ethnologue ni à affirmer une voix politique dans ses chansons qui sont finalement bien plus que de simples chansons, Olivier Savaresse nourrit une ambition modeste, celle de prendre celui qui l’écoute comme un organe sachant et capable de réflexion.".

Greg Bod

(Benzine Magazine)

"On le voit, s'il existe occasionnellement des rapprochements assez évidents, la patte d'Olivier Savaresse reste bien personnelle et trouve le bon ton entre la distance et la virtuosité des notes et des mots"

Marc Mineur

(Esprits critiques)

"C'est un ambitieux et passionnant projet. Son exigence, forcément peu compatible avec le mode de consommation de la musique privilégiée à ce jour, notamment sur le net, est pourtant un pré-requis indispensable".

Alain Birmann

(Longueurs d'ondes)

"On imagine bien Olivier Savaresse vivre à l’écart du monde, installé dans une grande maison composant et enregistrant ses musiques aux influences tribales, folk ou jazz funk, dans un petit studio autour de tous ses instruments,  comme un artisan travaillant dans son atelier, au gré du temps, sans pression"

Benoit Richard

(Hop Blog)

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